Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

De la pièce au récit et du récit à la pièce.

Publié le par Eric Bertrand

« Journal du 19.07 : après quelques jours d’hésitation, liée aussi à l’effet de fatigue et de soulagement, j’ai décidé de reprendre le travail par la rédaction du volet narratif de la pièce comme ça avait été le cas pour le Ceilidh.
              Les raisons sont les mêmes et j’éprouve notamment le besoin d’éclairer le contenu de cette pièce par un retour via le narratif. Tant au niveau du contenu que de la dramaturgie, l’expérience du Ceilidh prouve que les deux approches s’enrichissent mutuellement. »
 
              Je me félicite après coup d’avoir eu le courage de ne pas céder à la tentation de la paresse, au cours de ces heures chaudes du mois de juillet. La reprise de la pièce par le narratif a bouleversé les données initiales…
 

num_riser0001-1.jpg

La stessa cosa per la Scozia...

 

Rubrique Goncourt : quand les livres arrivent...
Remarque : Les événements se précipitent dans l’aventure du Goncourt et le lecteur excusera un léger différé dans la relation des événements ! J’écris depuis le début une sorte de journal du Goncourt, et l’écart se creuse entre l’écriture de l’article et la mise en ligne…
 
Ca sonne comme le titre d’un film à grand spectacle et pourtant il y a un peu de cela… Les documentalistes m’ont averti dans l’après-midi : les livres sont arrivés ! L’idée est alors de « scénariser l’événement ». Il en manque quelques uns, en retard ou en rupture de stock comme c’est le cas pour le fameux « Les Bienveillantes » que les élèves semblent attendrent avec convoitise… mais une chose est sûre, il y a du livre sur la table et de la lecture en perspective ! Sept séries : nous sommes 22. J’ai donc désigné six groupes de trois et un groupe de quatre. Chaque est donc « propriétaire » d’un stock et les livres vont ainsi pouvoir tourner de façon autonome au sein de chaque groupe. Profitant de cet arrivage, j’abandonne le « Marilyn » dont je me suis fait une petite idée jusqu’à la page 82, pour m’emparer de l’ouvrage « Fils unique », qui s’intéresse au frère de Rousseau et semble devoir donner au lecteur une peinture du XVIIIe siècle. J’entrevois là, peut-être, l’occasion d’anticiper sur un autre objet d’étude : un mouvement littéraire.
Commenter cet article